SOMMAIRE
INTRODUCTION
-/ DEFINITION
II-/ LES FORMATS DES FICHIERS WORD
IV-/ CARACTERISTIQUES ET CRITIQUES
1)
Outils de
mise en forme
2)
Polices et
alignement
3)
Les styles
4)
Objets OLE
5)
Sections
et mise en page
6)
Les champs
7)
Création
de tableaux dans les documents
8)
Le sommaire
automatique
9)
Le résumé
automatique
10)
Le modèle
Normal.dot(m)
V-/ LES CRITIQUES DU LOGICIEL
1)
La
calligraphie
2)
Les puces
et la numérotation
3)
Justifié : Permet d’aligner le
texte à droite et à gauche.
VI-/ VERSIONS
PC et compatibles
1) Macintosh (Mac
OS et Mac OS X)
3) Windows
INTRODUCTION
Depuis 2003, la version de Word a vu son appellation modifiée afin de souligner le
fait qu’il fait partie intégrante de la suite Microsoft Office ; Microsoft
a donc décidé de le renommer Microsoft Office Word au lieu de Microsoft
Word. La dernière version en date est la version 2016 ; elle fait
partie de la suite Microsoft Office 2016 et est
incluse dans l'abonnement à Office 365.
Un logiciel de traitement de texte couvre deux notions, assez différentes en pratique : un éditeur de
textes interactif et un compilateur pour un langage de mise en forme de textes
(notions qui sont précisées dans Traitement de texte).
Au cours de son évolution, Word a intégré l’outil de dessin qui permet
d’effectuer des opérations de publication,
comme l’ajout de graphiques (diagrammes, graphiques économiques, formes
géométriques, illustrations, équations) aux documents.
Microsoft
Word 2007 intègre
un système de menus d’un
nouveau genre où les sous-menus n’apparaissent pas sous forme de texte mais
sous forme de barre d’icône changeant
de contenu. Ce jeu d'onglets se
retrouve dans Microsoft Word 2010 et remplace intégralement les menus.
Word 2013 apporte l'usage
tactile et un
mode lecture2. Word
2016 intègre de nouvelles fonctionnalités de collaboration en temps réel et de
partage et simplifie la création de forme.
I-/ DEFINITION
Word est le logiciel
phare de la suite Bureautique Microsoft Office. C'est l'un des logiciels les
plus utilisés dans le monde et permet de rédiger des lettres, CV, rapports et
tous types de documents texte. Word permet de mettre en page vos documents, de
générer des sommaires, de numéroter automatiquement des pages, corriger
automatiquement la grammaire et l'orthographe, de créer des schémas, de faire
du publipostage...
Sa première version a été distribuée en 1983 sous
le nom de Multi-Tool Word (« Multi-Outil
de traitement de texte ») pour le système d'exploitation Xenix qui était une version du système Unix à la fin des années 1970.
Des versions ultérieures furent écrites
pour plusieurs autres plates-formes dont IBM PC sous système d’exploitation DOS en 1983, Apple
Macintosh en 1984, SCO UNIX, OS/2 et les premières versions Windows en 1989.
Word a été intégré en tant qu’élément
de la suite Microsoft
Office depuis 1993, même s’il était également vendu seul ou inclus dans la suite Microsoft Works.
II-/ LES
FORMATS DES FICHIERS WORD
Bien que l'extension .doc ait été
utilisée dans beaucoup de versions différentes de Word, le format a en réalité
existé sous quatre formats de fichier distincts :
·
Word for Windows 1.0 et 2.0
pour Windows - Word 4 et 5 pour Mac
·
Word 6.0 et Word 95 pour
Windows - Word 6.0 pour Mac
·
Word 97, 2000, 2002, 2003, 2007, 2010 et 2013 pour Windows - Word 98, 2001,
X, 2004 et 2011 pour Mac
La nouvelle extension .docx
est représentative des documents exploités depuis la version 2007 pour Windows,
et 2008 pour MacIntosh.
De ce fait, Microsoft ne
garantit pas un affichage uniformément correct des documents sur différentes
stations de travail même si deux d’entre elles utilisent la même version de
Word. En d’autres termes, cela signifie qu’un même document peut très bien ne
pas être affiché de manière strictement identique pour l'expéditeur et le
destinataire.
IV-/ CARACTERISTIQUES
ET CRITIQUES
Autant de caractéristiques pour un
traitement de texte a soulevé autant de succès que de discordes…
11)
Outils de
mise en forme
Word se veut à la fois une application
intuitive pour les débutants et comme un logiciel de préparation des ouvrages
en amont des logiciels professionnels de mise en page (XPress,InDesign) avec
lesquels il communique. Beaucoup de professionnels du prépresse[réf. nécessaire] connaissent ce logiciel et s’en servent.
Si la rédaction de textes courts peut
se faire de façon spontanée, la gestion de documents volumineux demande de la
rigueur.
Word possède des centaines de commandes
correspondant à des tâches particulières, seules certaines sont visibles dans
les menus. Le professionnel peut même avoir accès à un langage de programmation
évolué pour spécialiser et automatiser les fonctions ou en créer de nouvelles.
Exemple : Combien de temps vais-je mettre pour lire le texte
sélectionné ?
12)
Polices et
alignement
Comme tous les logiciels de traitement de texte, Microsoft Word permet de définir les polices utilisées
ainsi que les alignements du texte. Ces dispositions seront immédiatement
visibles à l’écran.
Notons qu’en mode justifié, Word gère
difficilement le gris typographique à la
justification ; ainsi, pour maintenir un paragraphe justifié, il peut introduire de très grandes
espaces entre les mots, là où un typographe préférerait faire une césure ou
bien rompre la justification (fin du mot en retrait ou dépassant dans la
marge).
Il n’est pas recommandé d’introduire un
trait d’union pour provoquer la césure, car le risque à ce qu’il se retrouve
dans la ligne suivante, si la justification changeait, était envisageable. Il
faut alors gérer automatiquement les césures possibles et éventuellement
introduire des autorisations de coupure dans
le mot.
13)
Les styles
Il convient de distinguer le style,
terme usuel, qui modifie directement le caractère (gras, italique, souligné,
couleur) et la feuille de style qui est une mémoire du style de texte appliquée
à un paragraphe ou à un groupe de mots. Word ne distingue pas ces termes.
La feuille de style était présente
jusqu’à la naissance des versions pour Windows. Elle est revenue depuis la
version 2007 sous le nom de jeux de styles. Elle peut s’exporter du document,
être copiée et modifiée dynamiquement.
Un style est une mise en forme de texte
destinée à être appliquée en plusieurs endroits. La modification du style
change la mise en forme pour tous les paragraphes ou portions de texte
utilisant ce style. Un ouvrage peut comporter de nombreuses feuilles de style.
Si plusieurs paragraphes utilisent une
même mise en forme, il faut utiliser un style, sinon on n’utilise pas la
fonction principale du traitement de texte et on ne fait que de la bonne
dactylographie.
Le style met en mémoire, police, style
et attributs, couleur, corps, interlignage, espacement, retraits, alinéa,
tabulateurs et spécificités de Word, visibilité, ordre hiérarchique, etc.
Le style de caractère mis en mémoire
pour quelques mots du paragraphe ne concerne que le caractère, style et
attributs.
On peut rendre les styles actifs, par exemple
en mettant le texte dans une couleur juste le temps de vérifier sa répartition
dans l’ouvrage. On peut aussi facilement rechercher/remplacer des termes
seulement dans une catégorie de texte.
Les styles permettent de séparer le
fond de la forme. Lorsque l’on indique que le texte est de style Titre n, on
indique la fonction du texte sans indiquer la manière dont il sera mis en
forme ; celle-ci est définie dans la boîte de dialogue de gestion des
styles. Ainsi, pour les titres de chapitre ou de section, il est recommandé
d’utiliser les styles Titre 1, Titre 2, … ce qui permettra de construire la
table des matières automatiquement. Un utilisateur peut définir ses propres
styles, par exemple créer un style Patronyme pour les noms de famille (qui figurent en petites capitales) dans les
listes ou exergues, mais jamais dans les textes.
En outre, l’utilisateur peut rechercher
tous les éléments de texte d’un style de caractère donné, par exemple pour en
faire une liste (ceci peut être
automatisé par une macro-instruction).
14)
Objets OLE
Sous Microsoft Windows, on peut
intégrer des objets OLE, qui permet d’exploiter des propriétés
propres à l’objet et à l’application qui l’a créé, avec l’inconvénient que
l’application en question est indispensable à la lecture du document.
Par exemple, si on copie un graphique
fait sous Microsoft Excel et qu’on le colle en utilisant l’option Collage
spécial Graphique Microsoft Office Excel Objet, on peut alors éditer le graphique sous Word comme si l’on était
sous Excel.
L’éditeur d’équation, Microsoft
Equation, insère des objets OLE en s’exécutant à l’intérieur de Word.
Un objet n’est pas nécessairement OLE.
On peut insérer un graphique ou une image comme un simple [modifier], sans
qu’il soit lié à l’application qui l’a créé. Les équations peuvent aussi être
représentées par des champs, sans faire appel à aucun éditeur d’équation.
Il est à noter que sur Mac, lorsqu’on
insère des objets OLE dans Word, ceux-ci ne sont plus reconnus comme tels dans
Word sous Windows. Ils apparaissent alors comme simples images. Ceci peut poser
de sérieux problèmes de portabilité entre les deux plates-formes. Plus grave,
Word 2008 pour Mac ne reconnaît même plus les objets OLE, même quand ils
viennent d’être collés dans un document créé avec cette même application.
15)
Sections
et mise en page
La mise en page — c’est-à-dire pour
Word le format de feuille (A4, letter…),
l’orientation (paysage, portrait), les
marges, la numérotation des pages, les en-têtes et pieds de page — peut
différer d’une partie à l’autre du document. Un saut de section peut coïncider avec un saut de page, un saut de colonne (si le texte est
sur plusieurs colonnes) ou bien être continu.
La mise en page est définie pour une section.
Insérer un saut de section (section break) la
fait varier d’une page sur l’autre : autorisant de montrer un tableau en
pleine page au format paysage alors que le reste du document est en portrait.
Lorsque le saut de section est un saut
de page, on peut imposer que la nouvelle page soit paire ou impaire ; cela
permet par exemple de toujours commencer un chapitre sur une page impaire, Word
se chargeant d’ajouter une page blanche si nécessaire. On peut imposer que la
première page d’une section soit différente des autres, par exemple que son
en-tête soit différente, comme cela se fait pour une première page de chapitre.
Dans ce cas, le saut de section est inutile, il suffit de choisir l'option
"Première page différente".
16)
Les champs
Parmi les nombreux champs citons :
la table des matières (générée à partir des titres de chapitre et de section),
l’index (généré à partir des champs entrés d’index), le numéro de page, le nom
du chapitre courant, le numéro du chapitre, des calculs numériques (par
exemple :
{a + b/2}
)…
Un champ est figuré sous la forme d’un
code de champs entre accolades ou par sa valeur.
Ainsi, le code
{TOC \o 1-3}
génère une table des matières (TOC, table of contents) référençant les titres de niveau 1 à 3 (c’est-à-dire titres de chapitre,
de section et de sous-section). Ce code est remplacé par du texte au moment de
l’impression, ou sur requête de l'utilisateur (mise à jour des champs). Il n’est en général pas nécessaire de
connaître les codes, celui-ci est généré à partir des options sélectionnées au
moment de l’insertion du champ.
17)
Création
de tableaux dans les documents
La création de tableaux dans Word a été
possible dès les premières versions de Word pour Windows. En parallèle à cela,
Word peut au sein de ces tableaux, effectuer des calculs simples entre
cellules, en ligne ou en colonne. Il est également possible de mettre en place
des formules prédéfinies.
18)
Le
sommaire automatique
Word propose un générateur de sommaire
automatique dépendant des styles de titres hiérarchisés dans le document. Il
peut également créer automatiquement des tables des matières, des listes
d’index, pour afficher par exemple un glossaire, etc. Une
nouvelle fonction de bibliographie est également proposée depuis la version
2007.
19)
Le résumé
automatique
Word fournit un outil de résumé
automatique qui permet de mettre en évidence les mots ou expressions jugées
importantes. L’utilisateur peut définir les paramètres de pourcentage de texte
à conserver par rapport la quantité totale du texte. Ron Fein de l’équipe de
Word 97 explique que ce système fonctionne par coupure de mots en fonction de
la pertinence des phrases. Dans un premier temps, Word identifie les mots les
plus courants dans le document en ignorant les mots comme un, une, le, la, etc., puis attribue un rang pour ceux d’entre eux qui
sont les plus utilisés ; il peut alors établir un score. C’est par un
processus d’opérations de division et de moyenne du nombre de mots par rapport
aux phrases que Word parvient à proportionner un résultat et d’en retourner un
résumé. Cette fonctionnalité a été supprimée depuis la version 2010.
20)
Le modèle
Normal.dot(m)
Normal.dot, pour les versions de 97 à
2003 et normal.dotm depuis la version 2007, est le modèle par défaut à partir
duquel tous les nouveaux documents sont créés. Il est l’un des fichiers les
plus importants dans Microsoft Word. Il permet de définir toutes les
caractéristiques d’un document et en particulier, les marges et les polices de
caractères par défaut. Ce modèle est fourni avec des caractéristiques par défaut que tout utilisateur
peut changer à sa convenance et en fonction de ses besoins. Tout changement sur
ce modèle impactera tous les nouveaux documents générés et tous ceux dont
l’option de mise à jour automatique des styles de formatage est activée. Il
faut noter que depuis la version 2007 il existe deux extensions de modèle
différentes : dotx si le modèle ne contient pas de macro et dotm si le
modèle contient des macros. Cette distinction permet de reconnaître les
fichiers contenant des macros avant même de les ouvrir et ainsi de mieux se
préserver des virus. Par contre, le modèle Normal est toujours le modèle
Normal.dotm même s'il ne contient pas de macros. Il faut noter d'ailleurs que,
contrairement aux versions précédentes, le modèle Normal.dotm n'existe qu'à la
première utilisation du logiciel. Rien n'empêche de créer son propre modèle
normal.dotm lorsqu'on le souhaite.
V-/ LES
CRITIQUES DU LOGICIEL
Avec autant de caractéristiques, Word
connaît un grand succès, mais aussi quelques critiques…
4) La calligraphie
Que ce soit pour Windows ou pour
Macintosh, Word n'était pas en mesure de manipuler les ligatures définies
sur certaines polices de caractères TrueType à cause des problèmes qui
pourraient être rencontrés lors d’éventuelles corrections orthographiques. Ce
type de police peut toutefois être inséré manuellement, mais n'était pas
reconnu par Word pour ce qu’il représente. Ce problème est corrigé dans la
version 2010 qui gère ces fonctionnalités pour certaines « polices OpenType qui ont été conçues pour, comme Gabriola, Corbel, Calibri,
Constantia »7. La
condition Open Type est donc nécessaire, mais pas suffisante, pour qu'une
police soit éligible à ces nouvelles fonctionnalités.
Une autre caractéristique de Word est
son incapacité à pouvoir exploiter des espaces réduits lors de la mise en forme
du texte en mode justifié notamment, mais aussi les repères de rognage. Diverses solutions de
contournement furent alors développées. Le processus de substitution de police
de caractère a été mis en place à partir de la version 2002 pour contourner le
problème rencontré lorsqu’une certaine police employée dans un document était
indisponible sur le système en cours : il n’est pas prévu de pouvoir désactiver
ce comportement par défaut.
Dans la version 2004 de Word pour
Macintosh, le support de l’écriture complexe était aussi faible que pour la
version 97 de Word pour Windows et Word n’a jamais su interpréter la
typographie avancée des systèmes Apple gérant parfaitement ces fameuses ligatures et autant de variétés de
glyphes.
5) Les puces et la numérotation
Quelques utilisateurs ont critiqué le
système de numérotation des paragraphes par puces ou par numéros, fortement
problématique en particulier en cas de méconnaissance du logiciel, la
fonctionnalité de numérotation hiérarchique étant relativement complexe.
Les problèmes relevés à l’égard des
puces et des numéros dans Word comprennent notamment :
·
l’altération ou le changement inattendu des caractères représentant les
puces,
·
l’indentation qui changeait au sein d’une même hiérarchie de paragraphe
·
ou, encore, les séquences de numérotation qui ne correspondaient pas
entre elles.
En dehors de cela et dans la majeure
partie des cas, le système restait tout de même opérationnel et voyait sa
vulnérabilité naître à cause des langues des correcteurs orthographiques
installés autres que le français et l’anglais…
Vocabulaire
lié au logiciel Word
6)
Justifié : Permet d’aligner le texte à droite et à gauche.
·
Lettrine : Première lettre d’un paragraphe ou d’un texte qui occupe
la hauteur de plusieurs lignes.
·
Modèle : La procédure de création de modèles de documents rajoute
automatiquement au nom du modèle l’extension DOT, ou bien DOTX et DOTM (avec
macro) pour les versions depuis 2007. Cette extension est obligatoire pour le
bon fonctionnement du modèle. Tout document est basé sur un modèle.
·
Style : tout paragraphe est basé sur un style, et par défaut le style
Normal. Les styles de titre fournis avec Word permettent entre autres de
générer automatiquement la table des matières.
VI-/ VERSIONS
2)
PC et compatibles (environnement MS-DOS)
·
1983 : Word 1
·
1985 : Word 2
·
1986 : Word 3
·
1987 :
Word 4 (Microsoft Word 4.0 pour PC)
·
1989 : Word 5
·
1991 : Word 5.1
·
1991 : Word 5.5
·
1993 : Word 6.0
·
1993 : Word 6.0 pour Windows
3)
Macintosh (Mac OS et Mac OS X)
·
1985 : Word 1 for the Macintosh
·
1987 : Word 3
·
1989 : Word 4
·
1991 : Word 5
·
1993 : Word 6
·
1998 : Word 98
·
2000 : Word 2001, la dernière version compatible avec Mac OS 9
·
2001 : Word X, la première version pour Mac OS X seulement
·
2004 : Word 2004, faisant partie de la suite Office 2004 pour Mac
·
2008 : Word 2008, faisant partie de la suite Office 2008 pour Mac
·
2010 : Word 2011, faisant partie de la suite Office 2011 pour Mac
·
2016 : Word 2016, faisant partie de la suite Office 2016 pour Mac
3) Windows
·
Novembre 1989 : Word pour Windows 1.0 pour Windows 2.x, nom de
code : Opus
·
Mars 1990— Word 1.1 pour Windows 3.0, nom de
code : Bill the Cat
·
Juin 1990 —
Word 1.1a pour Windows 3.1
·
1991 : Word 2.0 pour Windows, nom de code : Spaceman Spiff
·
1993 : Word pour Windows 6.0, nom de code T3 (cette version a été
renommée 6.0 pour s’accorder avec la version pour DOS et Macintosh, mais aussi pour
son concurrent direct WordPerfect et enfin pour la version 32-bit de Windows
NT)
·
1995 : Word pour Windows 95 (version 7.0), faisant partie de la
suite Office 95
·
1997 : Word 97 (version 8.0), faisant partie de la suite Office 97
·
1998 : Word 98 (version 8.5), faisant partie de la suite Office 97
– Cette version a été produite uniquement pour le Japon et la Corée.
·
1999 : Word 2000 (version 9.0), faisant partie de la suite Office
2000
·
2001 : Word 2002 (version 10.0), faisant partie de la suite Office
XP
·
2003 : Word 2003 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2003)
- (version 11.0), faisant partie de la suite Office 2003
·
2006 : Word 2007 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2007)
- (version 12.0), faisant partie de la suite Office 2007 – La version pour les
entreprises le 30 novembre 2006 et c’est le 30 janvier 2007 que l’on pouvait se
procurer une version en magasin.
·
2010 : Word 2010 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2010)
- (version 14.0 car le 13 porte malheur), faisant partie de la suite Office
2010.
·
2013 : Word 2013 (version 15), faisant partie de la suite Office
2013.
·
2016 : Word 2016 (version 16), incluse dans l'abonnement Office
365.
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