lundi 24 avril 2017

les komians en côte d'ivoire

SOMMAIRE





INTRODUCTION

DEFINITION

DEVELOPPEMENT

CONCLUSION


INTRODUCTION
En Côte d’Ivoire, chez les Akan, particulièrement chez les Baoulés dont je suis originaire, nous appelons ces prêtres ou prêtresse « komian ».
Pour rappel, les Baoulés, peuple majoritaire de la Côte d’Ivoire s’y sont installés au centre du pays après avoir quitté la confédération Ashanti de l’actuel Ghana, vers le XVIIe siècle, suite à une guerre politico-militaire. Face aux religions révélées que sont le christianisme et l’islam, les komians ont beaucoup perdu en presse. Ils sont tancés de suppôts de Satan ou d’imposteurs dont la seule foi est l’argent.







DEFINITION
Les komians sont dotées d'un pouvoir de prévention du malheur et, le cas échéant, de guérison. Cette puissance s'exerce par le truchement d'un art divinatoire et thérapeutique qui permet aux komians d'indiquer les remèdes à prendre, les sacrifices ou les rites à exécuter pour retrouver la force de vie perdue, voire de confectionner toutes sortes d'amulettes destinées à protéger leur porteur, à le faire réussir aux examens ou à avoir du charme.


DEVELOPPEMENT
Comme dans toute société traditionnelle africaine, il existe des prêtres ou prêtresses, interprètes entre deux mondes, gardiens et protecteurs de l’équilibre de la société. On leur attribue souvent des pouvoirs mystiques, la faculté de chasser les démons, de guérir ou encore de prévenir la société de grandes calamités.
Un troisième pouvoir s'ajoute aux précédents : celui d'une parfaite connaissance de la nature, des forces des êtres et des plantes, des rapports qui les lient entre eux, des conflits qui peuvent éventuellement les opposer et des techniques de leur résolution. à cet effet, l'initiateur a travaillé l'intelligence et la sensibilité de la candidate pour l'ouvrir à un degré beaucoup plus aigu que celui auquel peuvent parvenir les simples villageois, à la vision des violences et des divers maux dont souffrent les personnes et les groupes.
 








Les sorties des komians sur la place publique sont précédées par une préparation. Il s’agit entre autres de l’habillement des komians et l’installation des musiciens qui l’accompagnent. Ceux-ci dotés de tam-tam, de clochettes et divers instruments battent des rythmes en attendant la sortie du Komian confiné dans son sanctuaire. À la sortie du Komian, nous constatons un changement dans le rythme des tambours, qui passe d’un rythme lent à un rythme accéléré.
L’accoutrement du Komian est divers. Ça peut être un simple pagne blanc noué à la poitrine et un autre à la hanche s’arrêtant au tibia pour les femmes ou d’une culotte blanche quand c’est un homme, avec une ceinture au rein sur laquelle est monté tout un apparat. Le Komian peut être aussi coiffé d’un bonnet rouge incrusté de cauris et de morceaux de miroir. Du Kaolin badigeonne son corps tandis que des amulettes et des cordes sont nouées çà et là. Il tient des chasse-mouches à la main. Ses chevilles sont ornées de clochettes qui émettent des sons qui suivent le rythme de ses pas pendant qu’il danse.
Au cours de ses danses, le Komian, les bras détachés du corps tourne plusieurs fois comme les derviches. Ce mouvement va de pair avec le rythme de plus en plus rapide des tambours.
Selon ROUGET dans « La musique et la transe » c’est le rythme de plus en plus rapide qui ouvre les muscles, les viscères, les têtes à la pénétration du dieu attendu pendant ces cérémonies. Les danses exécutées par le Komian sont aussi diverses que variées. Il frappe le sol des pieds à un rythme lent et soudain change la cadence en l’accélérant. Il donne des messages dans un langage clair ou abscons.
Il arrive, pendant ses tournoiements, qu’un spectateur tombe en transe. On dit souvent que le Komian lui a transmis quelque chose. Il arrive que le Komian choisisse de toucher un spectateur pour le mettre dans un état second. De la poudre de kaolin ou des œufs de poules africaines sont jetés au visage des « possédés » soit pour les libérer de la transe soit pour les aider à délivrer leurs messages de l’au-delà aux vivants.





À l’aune des travaux du Dr LEFEBURE, nous pouvons apporter des lumières sur certains faits lors de ce type de cérémonie.
Le Komian au cours de sa sortie en public exécute plusieurs exercices du système phénique à la fois. D’abord il faut remarquer que le Komian sort toujours ou presque pendant une journée ensoleillée. Inconsciemment ou non, mais à peine sortie de son sanctuaire pour prester, il jette un regard vers le ciel lumineux comme pour s’assurer de la présence des esprits. Nul doute, il fait à ce moment un Phosphène et tout le long de sa chorégraphie, celle-ci sera ponctuée par ce geste.
Il exécute ensuite ce que nous pouvons appeler une marche rythmique en cognant le sol du talon, faisant ainsi résonner les clochettes nouées autour des chevilles. En frappant fortement le pied sur le sol, le Komian stimule à la fois l’Ostéophène ou phène des propriétés élastiques du squelette, et le Myophène ou phène lié à l’activité musculaire. Selon le Dr LEFEBURE, toute marche ou danse crée des synchronisations entre les hémisphères cérébraux. Cette marche, il la fait tantôt vers les musiciens, tantôt vers l’assistance.
Aussi en écoutant alternativement le son des tam-tams en tendant une oreille et ensuite l’autre oreille, il stimule l’Acouphène.

 







Enfin, lorsque le prêtre traditionnel lors de la danse fait des tournoiements, cela correspond au Gyrophène qui fait appel au sens de l’équilibre. Ceci provoque une montée en puissance de la koundalini. À ce stade, le rythme cérébral du Komian est tellement amplifié qu’il est capable de transmettre une pensée rythmée et provoquer chez autrui des énergies subtiles : une pensée, des images fantastiques, perception de plans subtils ou tout autre phénomène. Ces cérémonies sont de véritables moments de transmission d’énergie par télépathie phosphénique et donc d’initiation.
L'apprentissage de l'art divinatoire constitue l'objet principal de l'initiation ainsi que le second fondement de ses pouvoirs. Il permet au maître pendant une durée de trois ans de familiariser les futures komians avec les danses et chants divinatoires, de les initier au maniement et à l'interprétation des diverses techniques de consultation : baguettes, cauris, cordes, etc. Cet apprentissage peut se parfaire auprès de plusieurs maîtres réputés.

Leur danse de possession ahô ou ahoé est exécutée pour conjurer le mauvais sort, les maladies, faire tomber ou arrêter la pluie selon les besoins du moment. Elles préviennent quelques calamités avant la moisson. Elles sont chargées de veiller à la sécurité métaphysique de la communauté. C'est ainsi qu'autrefois, les rois avaient des komians attachées à leur personne (celles-ci, en qualité d'éclaireureuses, les accompagnaient lors de leurs sorties publiques ou étaient consultées avant toute décision politique). Elles intervenaient également dans les affaires politiques. Par exemple, on consultait d'abord les komians pour l'éviction d'un roi.

CONCLUSION

Nous venons ainsi de voir comment un prêtre traditionnel africain met en mouvement tout le système phénique.
Par le phosphénisme, nous pouvons comprendre aujourd’hui ce qui était un mystère impénétrable et dont le secret reste à ce jour gardé par une caste d’initiés.


dimanche 16 avril 2017

la tricherie a l'ecole

SOMMAIRE

INTRODUCTION

I-DEFINITIONS

II-EXPLICATION DE CE PHENOMENE

1-Les raisons expliquant ce phénomène

a- Pourquoi est-ce que les élèves trichent ?

b- Quand est-ce qu’ils trichent ?

2-Les différentes méthodes ; la règle et les sanctions 

a) les différentes méthodes
b- La règle et les sanctions

c- La tricherie sous toutes ses formes

III- LES CAUSES

IV- LES CONSEQUENCES 

V- QUELQUES PROPOSTIONS DE SOLUTION

CONCLUSION



INTRODUCTION
L’éducation occupe une place très importante depuis belle lurette.  Cette institution a changé la formation de futures élites. En réalité, il est à constater que cette institution c'est-à-dire l’école pour tous est mis en mal par un fléau qui ronge les apprenant eux même. Il s’agit de la tricherie en milieu scolaire.


I- DEFINITIONS
La tricherie est le fait, pour un individu d’utiliser des moyens frauduleux, pour obtenir des réponses, en vue d’’obtenir un bon résultat. Comme un acte mensonger, la tricherie est l’action de dissimuler habilement un défaut ou une insuffisance. Il s’agit par ailleurs d’une violation des règles selon le dictionnaire électronique « Encarta 2010».C’est aussi la malhonnêteté d’ordre moral ou intellectuel.
La tricherie en milieu scolaire, est le fait pour un apprenant de ne pas chercher à travailler pour réussir lui-même, un travail qui repose sur une organisation et la prise de conscience.


II-EXPLICATION DE CE PHENOMENE

1- LES RAISONS EXPLIQUANT CE PHENOMENE

             a- Pourquoi est-ce que les élèves trichent ?

La tricherie en milieu scolaire a toujours existé. Cependant, des chercheurs signalent une montée spectaculaire de ce phénomène à l’école (collège lycée).
Des chercheurs ont mis le doigt sur une diversité de raisons qui poussent les élèves et les étudiants à tricher : certains veulent améliorer leurs résultats scolaires ou éviter l’échec, mais également parce que leur définition de la malhonnêteté diffère de celle de leurs enseignants.

              b- Quand est-ce qu’ils trichent ?

En général, Les élèves trichent pendants les devoirs habituels ou encore durant les examens tels que le BAC ou le Brevet des collèges.


2- LES DIFFERENTES METHODES ; LA REGLE ET LES SANCTIONS 

             a) les différentes méthodes

- Recopier sur son voisin

- Les petites feuilles de pompe dans la trousse

- Pour les filles mettre sa feuille de pompe dans son décolleté

- Lorsque l’on porte un jean, on peut écrire dessus au crayon à papier

- Connaître à l’avance les questions du contrôle (difficile)

- Communiquer avec un voisin discrètement en chuchotant ou à l’aide d’un téléphone portable
   
- Placer son cour entre vous et votre voisin (difficile)


             b- La règle et les sanctions

- Interdiction de communiquer entre candidats ou avec l’extérieur par quelque moyen que ce soit.
- Interdiction d’utiliser ou même de conserver sans les utiliser des documents ou matériels non autorisés pendant l’épreuve. Les candidats ne peuvent disposer sur leur table de composition que des seuls documents et matériels expressément autorisés, mentionnés sur le sujet.
- Un appareil muni de possibilités de communication est toujours interdit.
- Tout acte ou tout comportement qui donne à un étudiant un avantage indu lors d’une épreuve constitue une fraude.


   c- La tricherie sous toutes ses formes
La tricherie en milieu scolaire s’aperçoit sous différentes formes. Elle est presque identique dans les enseignements primaires et secondaires. Quant au supérieur, elle prend une autre tournure plus périlleuse qui non seulement ternit l’image personnelle de ceux impliqués mais aussi constitue un handicap pour une formation de qualité. Selon Pierre Lisboa la tricherie se manifeste par la détention d’un document compromettant au cours de l’évaluation des connaissances. « Avoir sur soi des documents sur le cours, le sujet, documents tiré du cours ou de l’ouvrage pour exploitation. Documents qui ont traits au sujet partiellement ou non. Cela dépend de l’adresse de l’élève ». Il arrive des fois que l’élève cherche à recopier ses voisins immédiats. Cette dernière forme est beaucoup plus récurrente dans le primaire. On aperçoit que la tricherie évolue de jour en jour dans le système scolaire et universitaire. Ce qui illustre aisément la baisse de niveau et de qualité des élèves. 


III- LES CAUSES DE LA TRICHERIE
Des grèves à répétition dans des établissements publics et une complaisance dans certaines écoles privées expliqueraient en grande partie la baisse considérable du niveau chez les élèves victimes d’un système éducatif de plus en plus dégradant. 
D’un autre côté la tendance qui consisterait à supprimer le redoublement de classes au cycle élémentaire ou moyen ne devrait pas être négligée. Bon nombre d’élèves procèdent à des gymnastiques cérébrales pour se faire accepter dans un nouvel établissement : de tels élèves peuvent fréquenter plusieurs écoles au cours d’un même cycle. 
La satisfaction des parents peut pousser à tout prix, l’élève à tricher. Tous les moyens sont mis à profit pour obtenir une bonne note. La méritocratie en prend un sacré coup. 
Les pratiques différentes selon les élèves ou les outils dont on dispose. Les formes : Optant pour la tricherie, des élèves prennent le soin de recopier les leçons, formules ou pans des cours quelque part (même la calculatrice peut être employée) et prennent le soin de le dissimuler dans la copie destinée à l’épreuve, à l’intérieur des capuchons de stylo ou de stylo correcteur Tipp ex communément appelé « blanco ».
Une autre pratique consisterait à utiliser un crayon de couleur blanche qui s’assortirait de la feuille blanche non suspecte à première vue alors que pour rendre effectif le forfait l’utilisation d’une couleur différente suffirait. L’élève qui n’est pas capable de répondre aux questions s’arrange de sorte à se trouver aux côtés de son camarade qui n’éprouverait pas de problèmes pour traiter le suet soumis à leur appréciation. 


IV- LES CONSEQUENCES DE LA TRICHERIE
La tricherie a des conséquences négatives sur la réussite des élèves adeptes. A courts termes la triche n’est pas très grave, mais à long terme elle peut devenir dangereuse pour certains cas et même devenir une dépendance pour certaines personnes. Cela peut commencer lorsque quelqu’un va tricher, car il se dit qu’il n’a pas le choix. Puis il va comprendre que tricher est un moyen rapide d’arriver à ses fins, et il va donc recommencer. Mais au final la triche fait toujours prendre des risques, car le fait de tricher, c’est de violer les règles (ou les lois) imposées, et le plus souvent la violation des règles, est suivie d’une sanction. La sanction est le plus souvent donnée par un tribunal lorsqu’une loi a été violée. Certaines personnes vont en prison pour avoir triché. A long terme elle peut aussi entraîner une baisse du niveau intellectuel d’une population si une bonne partie de la population, ou toute la population se met à tricher. La triche peut apporter fortune ou gloire, alors que la personne qui a triché ne mérite ni l’un ni l’autre. C’est donc un moyen d’arriver à ses fins, mais un moyen loin d’être honorable. Au final les risques sont divers. Il peut y avoir un risque de baisse intellectuel, un risque pour la santé, et même un risque de sanction. Au niveau des sanctions, cela peut même aller jusqu’à plusieurs années de prison ferme. La fraude aux examens peut avoir des conséquences lourdes. Les conseils de discipline des universités adressent des avertissements mais excluent aussi des étudiants fraudeurs. Plusieurs centaines de personnes passent en conseil de discipline chaque année, Selon la gravité de la faute, les sanctions…


V- QUELQUES PROPOSTIONS DE SOLUTION
Comme solutions, il faut :
Multiplier les contrôles et les devoirs avec une stricte surveillance ;
Les parents d’élèves doivent suivre régulièrement leurs enfants dans le boss ;
Avoir de l’enseignant capable de bien transmettre les cours.


CONCLUSION
Elèves et enseignants reconnaissent unanimement les effets néfastes de la tricherie à l'école. Elle est mauvaise conseillère qui ne fait que vous servir l'illusion et vous tourne en dérision. Celui qui avance grâce à la tricherie sera démasqué tôt ou tard... Lorsque le tricheur tombe sur une cale, il est bloqué à jamais, plongeant ainsi dans l'abîme de la honte et couvrant ses proches de ridicule et de déshonneur.


«  Qui cherche la perfection obtient l’excellence »

samedi 25 février 2017

EXPOSER SUR EXCEL

PLAN DE L’EXPOSER

I- INTRODUCTION GENERALE
II- INTERFACE D ACCUEIL D EXCEL
III- SAISIE ET MODIFICATION DANS EXCEL
      A- Lancement d EXCEL
      B- Quitter  EXCEL
      C- Déplacement  dans  un  classeur
      D- Les données
      E- Entrée de texte
      F- Sélection de données
      G - Saisie dans une page de cellules  sélectionnées 
IV- MISE EN FORME D UNE CELLULE DE CALCUL EXCEL
V- LES GRAPHIQUE  AVEC EXCEL
1- Généralité sur les graphique
          CONCLUSION



     


INTRODUCTION

http://idata.over-blog.com/2/53/34/24/excel2.jpg


EXCEL ( tableur ) , programme d' application couramment utilise pour l établissement d un budget , La planification  et d autres taches  comptables . Dans un tableur les données et les formules se présentent sous forme de tableau de type grand - live (appelées  feuilles  de  calculs  )  et permettent  l analyse , le suivi ou l évaluation prospective de l impact  de changement  réel  ou  éventuel sur une situation donnée .

         Tableur: logiciel permettant d’effectuer des calculs sur des nombres organisés dans un tableau (feuille de calcul)
         Avantage:
       Visualisation synthétique des données sous forme de tableau
       Bonne adaptation pour les calculs répétitifs
       Génération aisée de graphiques et de rapports
       Grande base d’utilisateurs
·        Principaux tableurs
       Office Excel de Microsoft
       StarOffice Calc de Sun
       OpenCalc de OpenOffice
       Lotus 123 de IBM
       KSpread de KOffice/Linux





     
 II- INTERFACE D ACCUEIL D' EXCEL


La fenêtre EXCEL a une structure semblable à celle des fenêtre sous Windows à savoir :

   - Une barre de titre: portant le nom du programme
   -Une barre de menus : proposant  divers sous - menus
   -Une barre d outils standard : permettant l exécution rapide des menus
   -Une barre  de mise en forme : permettant  d améliorer l apparence de la feuille de calcul        
   -Un volet d exploitation ou  un espace de travail d couleur blanche
   - Une barre de déplacement horizontale et vertical
   - Une barre d état affichant les informations et autres
                     
        Chaque document EXCEL est appelle classeur  . Chaque classeur est compose de 3 feuille de calcul mais il peut contenir jusqu à 255 feuilles de travail . Chaque feuille de calcul se subdivise en 256 colonnes et de  65536 lignes . L intersection entre une ligne et une colonne forment une cellule .

              LA  Largeur  d une  colonne est   comprise  entre 0 et255 caractère  , et la hauteur  d une ligne peut  être de 0 a 409 points .  Les lignes sont numérotées de 0 à 65536 . La longueur maximal d u contenu  d une cellule est de 32000 caractère .


III -
 SAISIE ET MODIFICATIONS DANS EXCEL

   A- Lancement d EXCEL

Les possibilités de lancement d EXCEL sont nombreuses et variées  . EXCELB affiche immédiatement après son  :

- Démarrage  d un nouveau classeur vide nomme classeur 1
- Démarrage standard après l installation du programme EXCEL
   *Cliquez sur le bouton DEMARRER dans la barre des taches
   *Sélectionnez sans enfoncer le bouton de la souris ; la commande PROGRAMME
   *Cliquer ensuite sur le nom MICROSOFT EXCEL
-Lancement automatique de Windows  2000
             EXCEL peut aussi être lance  par une  icône de programme  posée sur le bureau : un double  clic sur l icône  de  MICROSOFT EXCEL  suffit pour lancer le programme qui lui est rattache  ( vous  devez  avoir au préalable crée un  raccourci  vers EXCEL . EXE  par  EXPLORATEUR  /  MS  OFFICE )
      
      
 B-  Quitter  EXCEL
       
                      Pour quitter EXCEL , choisissez  l une des  possibilités  suivantes   :


·         Sélectionner  la commande  FICHIER / QUITTER (  ALT+ F4 )
·         Cliquez  sur le bouton   du  menu    système  de la fenêtre  d application  EXCEL  et sélection la commande  FERMETURE (  ALT  +F4 )  .
·         Double  - cliquez  sur   le bouton de menu  système de la fenêtre  d application  EXCEL.
·         Dans  la  barre des taches  , sélectionnez  le menu  contextuel du  bouton  de la  fenêtre    d application  EXCEL   , puis la commande  FERMETURE (ALT+F4).  

        
 C- Déplacement  dans un classeur 


          Les barres de défilement a droite et au bas  de la fenêtre du  classeur  la fond  respectivement  défiler  verticalement  et horizontalement  . Le  défilement  horizontal  est utile lorsque  le classeur  ne peut  être  vu  en entier  sur la largeur  .  Lorsque vous faites défiler la fenêtre a l aide des barres  de défilement , le texte défile mais  le point  d insertion  demeure immobile.

         
 D- les  données
                            
              EXCEL effectue des  calcul  sur des données  saisies par  l utilisateur et  des valeurs constantes , par  le biais de formules .EXCEL  distingue  les types  de données  suivant leurs valeurs constantes  et  leurs formules .

·            valeurs constantes : se sont  toutes  les  valeurs  numériques  et les  textes .
·            les formules  : ( contrairement  au  valeurs constantes ) les formules  affichent   des valeurs   variables  .

           E- Entrée de textes
  Les informations ou  données  que  vous  entrez  dans  une cellule  peuvent être du  texte , des nombres  ou  des formules .

               - les  entrées  de texte peuvent  contenir  n importe  quelle  combinaison  de lettres , de chiffres , d espaces et caractères  spéciaux .
               - les entrées  numériques  utilisées  dans les calculs comportent  seulement  les chiffres de 0 a  9
               - une entrée qui  commence  par un signe d égalité constitue  une formule

          
 F- sélection des données
                           
        La sélection des données  comporte diverse  sélections :

                    -la  Sélection  de cellule ou d une plage de cellules ,
                    - La sélection de lignes
                    - la sélection de la feuille toute entière
      
         
 G- Saisie  dans  une plage de  cellules sélectionnes

               - saisie des données différentes
               Sélectionnées  la plage de cellules . Entrez  les données  et  appuyez  sur la  touche entrée

                           Remarques:
                          - UN clic sur une cellule quelconque  annule la sélection
                          - Vous pouvez interrompre la saisie d un  clic  hors  de plage de cellules sélectionnées

             IV-
 MISE EN FORME D UNE FEUILLE DE CALCUL EXCEL

                  Quand vous entrez  vos données ( valeurs et formules ) directement dans une feuille de calcul , elles sont formatées selon le style par défaut  . La police , sa taille et sa couleur ,son style , son alignement ,
etc.Sont  conforme au style  par défaut .

                       - définir la taille et sa police
              Sélectionnées  la ou les cellule(s) ou sélectionnez avec le curseur texte les caractères  du contenu  de la cellule active dans la barre de formule ou  dans la cellule dont vous désirez  modifier
La police ou la taille .

              
 V- les graphiques avec EXCEL
             
1-Generalités sur les graphiques
        ils sont l expression visuelle des données agencées  en tableaux , dans des lignes et des colonnes .Cette visualisation permet une interprétation très rapide des valeurs  , notamment pour les comparer et apprécier les tendances .

2-Données  des tableaux
       Les graphiques présentent des données sélectionnées dans un tableau (plage de cellule) .Les cellules contenant les titres dans une ligne peuvent éventuellement être sélectionnées  avec la zone de donnée. Ces titres apparaîtront  dans le graphique comme étiquette des abscisses et des ordonnées.

            














           

     CONCLUSION
 
    En définitive , fort nous à été de constaté qu EXCEL est un programme d’application couramment utilise pour établir un budget et d autres taches comptables. Pour illustrer tout cela, nous avons présenté brièvement EXCEL avec tous ses programmes .Cependant  EXCEL ne sert il pas a faire autre chose ?
L avenir nous le dira .

EXPOSER SUR WORD

SOMMAIRE

INTRODUCTION
-/ DEFINITION
II-/ LES FORMATS DES FICHIERS WORD

IV-/ CARACTERISTIQUES ET CRITIQUES

1)   Outils de mise en forme

2)   Polices et alignement

3)   Les styles

4)   Objets OLE

5)   Sections et mise en page

6)   Les champs

7)   Création de tableaux dans les documents

8)   Le sommaire automatique

9)   Le résumé automatique

10)             Le modèle Normal.dot(m)

V-/ LES CRITIQUES DU LOGICIEL

1)   La calligraphie

2)   Les puces et la numérotation

3)   Justifié : Permet d’aligner le texte à droite et à gauche.

VI-/ VERSIONS

PC et compatibles 
1)   Macintosh (Mac OS et Mac OS X)
3)  Windows
INTRODUCTION
Depuis 2003, la version de Word a vu son appellation modifiée afin de souligner le fait qu’il fait partie intégrante de la suite Microsoft Office ; Microsoft a donc décidé de le renommer Microsoft Office Word au lieu de Microsoft Word. La dernière version en date est la version 2016 ; elle fait partie de la suite Microsoft Office 2016 et est incluse dans l'abonnement à Office 365.
Un logiciel de traitement de texte couvre deux notions, assez différentes en pratique : un éditeur de textes interactif et un compilateur pour un langage de mise en forme de textes (notions qui sont précisées dans Traitement de texte).
Au cours de son évolution, Word a intégré l’outil de dessin qui permet d’effectuer des opérations de publication, comme l’ajout de graphiques (diagrammes, graphiques économiques, formes géométriques, illustrations, équations) aux documents.
Microsoft Word 2007 intègre un système de menus d’un nouveau genre où les sous-menus n’apparaissent pas sous forme de texte mais sous forme de barre d’icône changeant de contenu. Ce jeu d'onglets se retrouve dans Microsoft Word 2010 et remplace intégralement les menus. Word 2013 apporte l'usage tactile et un mode lecture2. Word 2016 intègre de nouvelles fonctionnalités de collaboration en temps réel et de partage et simplifie la création de forme.

I-/ DEFINITION
Word est le logiciel phare de la suite Bureautique Microsoft Office. C'est l'un des logiciels les plus utilisés dans le monde et permet de rédiger des lettres, CV, rapports et tous types de documents texte. Word permet de mettre en page vos documents, de générer des sommaires, de numéroter automatiquement des pages, corriger automatiquement la grammaire et l'orthographe, de créer des schémas, de faire du publipostage...
Sa première version a été distribuée en 1983 sous le nom de Multi-Tool Word (« Multi-Outil de traitement de texte ») pour le système d'exploitation Xenix qui était une version du système Unix à la fin des années 1970.
Des versions ultérieures furent écrites pour plusieurs autres plates-formes dont IBM PC sous système d’exploitation DOS en 1983, Apple Macintosh en 1984, SCO UNIX, OS/2 et les premières versions Windows en 1989.
Word a été intégré en tant qu’élément de la suite Microsoft Office depuis 1993, même s’il était également vendu seul ou inclus dans la suite Microsoft Works.
II-/ LES FORMATS DES FICHIERS WORD
Bien que l'extension .doc ait été utilisée dans beaucoup de versions différentes de Word, le format a en réalité existé sous quatre formats de fichier distincts :
·         Word for DOS
·         Word for Windows 1.0 et 2.0 pour Windows - Word 4 et 5 pour Mac
·         Word 6.0 et Word 95 pour Windows - Word 6.0 pour Mac
·         Word 97, 2000, 2002, 2003, 2007, 2010 et 2013 pour Windows - Word 98, 2001, X, 2004 et 2011 pour Mac
La nouvelle extension .docx est représentative des documents exploités depuis la version 2007 pour Windows, et 2008 pour MacIntosh.
De ce fait, Microsoft ne garantit pas un affichage uniformément correct des documents sur différentes stations de travail même si deux d’entre elles utilisent la même version de Word. En d’autres termes, cela signifie qu’un même document peut très bien ne pas être affiché de manière strictement identique pour l'expéditeur et le destinataire.

IV-/ CARACTERISTIQUES ET CRITIQUES

Autant de caractéristiques pour un traitement de texte a soulevé autant de succès que de discordes…

11)             Outils de mise en forme

Word se veut à la fois une application intuitive pour les débutants et comme un logiciel de préparation des ouvrages en amont des logiciels professionnels de mise en page (XPress,InDesign) avec lesquels il communique. Beaucoup de professionnels du prépresse[réf. nécessaire] connaissent ce logiciel et s’en servent.
Si la rédaction de textes courts peut se faire de façon spontanée, la gestion de documents volumineux demande de la rigueur.
Word possède des centaines de commandes correspondant à des tâches particulières, seules certaines sont visibles dans les menus. Le professionnel peut même avoir accès à un langage de programmation évolué pour spécialiser et automatiser les fonctions ou en créer de nouvelles. Exemple : Combien de temps vais-je mettre pour lire le texte sélectionné ?

12)             Polices et alignement

Comme tous les logiciels de traitement de texte, Microsoft Word permet de définir les polices utilisées ainsi que les alignements du texte. Ces dispositions seront immédiatement visibles à l’écran.
Notons qu’en mode justifié, Word gère difficilement le gris typographique à la justification ; ainsi, pour maintenir un paragraphe justifié, il peut introduire de très grandes espaces entre les mots, là où un typographe préférerait faire une césure ou bien rompre la justification (fin du mot en retrait ou dépassant dans la marge).
Il n’est pas recommandé d’introduire un trait d’union pour provoquer la césure, car le risque à ce qu’il se retrouve dans la ligne suivante, si la justification changeait, était envisageable. Il faut alors gérer automatiquement les césures possibles et éventuellement introduire des autorisations de coupure dans le mot.

13)             Les styles

Il convient de distinguer le style, terme usuel, qui modifie directement le caractère (gras, italique, souligné, couleur) et la feuille de style qui est une mémoire du style de texte appliquée à un paragraphe ou à un groupe de mots. Word ne distingue pas ces termes.
La feuille de style était présente jusqu’à la naissance des versions pour Windows. Elle est revenue depuis la version 2007 sous le nom de jeux de styles. Elle peut s’exporter du document, être copiée et modifiée dynamiquement.
Un style est une mise en forme de texte destinée à être appliquée en plusieurs endroits. La modification du style change la mise en forme pour tous les paragraphes ou portions de texte utilisant ce style. Un ouvrage peut comporter de nombreuses feuilles de style.
Si plusieurs paragraphes utilisent une même mise en forme, il faut utiliser un style, sinon on n’utilise pas la fonction principale du traitement de texte et on ne fait que de la bonne dactylographie.
Le style met en mémoire, police, style et attributs, couleur, corps, interlignage, espacement, retraits, alinéa, tabulateurs et spécificités de Word, visibilité, ordre hiérarchique, etc.
Le style de caractère mis en mémoire pour quelques mots du paragraphe ne concerne que le caractère, style et attributs.
On peut rendre les styles actifs, par exemple en mettant le texte dans une couleur juste le temps de vérifier sa répartition dans l’ouvrage. On peut aussi facilement rechercher/remplacer des termes seulement dans une catégorie de texte.
Les styles permettent de séparer le fond de la forme. Lorsque l’on indique que le texte est de style Titre n, on indique la fonction du texte sans indiquer la manière dont il sera mis en forme ; celle-ci est définie dans la boîte de dialogue de gestion des styles. Ainsi, pour les titres de chapitre ou de section, il est recommandé d’utiliser les styles Titre 1, Titre 2, … ce qui permettra de construire la table des matières automatiquement. Un utilisateur peut définir ses propres styles, par exemple créer un style Patronyme pour les noms de famille (qui figurent en petites capitales) dans les listes ou exergues, mais jamais dans les textes.
En outre, l’utilisateur peut rechercher tous les éléments de texte d’un style de caractère donné, par exemple pour en faire une liste (ceci peut être automatisé par une macro-instruction).

14)             Objets OLE

Sous Microsoft Windows, on peut intégrer des objets OLE, qui permet d’exploiter des propriétés propres à l’objet et à l’application qui l’a créé, avec l’inconvénient que l’application en question est indispensable à la lecture du document.
Par exemple, si on copie un graphique fait sous Microsoft Excel et qu’on le colle en utilisant l’option Collage spécial Graphique Microsoft Office Excel Objet, on peut alors éditer le graphique sous Word comme si l’on était sous Excel.
L’éditeur d’équation, Microsoft Equation, insère des objets OLE en s’exécutant à l’intérieur de Word.
Un objet n’est pas nécessairement OLE. On peut insérer un graphique ou une image comme un simple [modifier], sans qu’il soit lié à l’application qui l’a créé. Les équations peuvent aussi être représentées par des champs, sans faire appel à aucun éditeur d’équation.
Il est à noter que sur Mac, lorsqu’on insère des objets OLE dans Word, ceux-ci ne sont plus reconnus comme tels dans Word sous Windows. Ils apparaissent alors comme simples images. Ceci peut poser de sérieux problèmes de portabilité entre les deux plates-formes. Plus grave, Word 2008 pour Mac ne reconnaît même plus les objets OLE, même quand ils viennent d’être collés dans un document créé avec cette même application.

15)             Sections et mise en page

La mise en page — c’est-à-dire pour Word le format de feuille (A4, letter…), l’orientation (paysage, portrait), les marges, la numérotation des pages, les en-têtes et pieds de page — peut différer d’une partie à l’autre du document. Un saut de section peut coïncider avec un saut de page, un saut de colonne (si le texte est sur plusieurs colonnes) ou bien être continu.
La mise en page est définie pour une section. Insérer un saut de section (section break) la fait varier d’une page sur l’autre : autorisant de montrer un tableau en pleine page au format paysage alors que le reste du document est en portrait.
Lorsque le saut de section est un saut de page, on peut imposer que la nouvelle page soit paire ou impaire ; cela permet par exemple de toujours commencer un chapitre sur une page impaire, Word se chargeant d’ajouter une page blanche si nécessaire. On peut imposer que la première page d’une section soit différente des autres, par exemple que son en-tête soit différente, comme cela se fait pour une première page de chapitre. Dans ce cas, le saut de section est inutile, il suffit de choisir l'option "Première page différente".

16)             Les champs

Un champ est un texte généré automatiquement à partir du contenu du reste du document.
Parmi les nombreux champs citons : la table des matières (générée à partir des titres de chapitre et de section), l’index (généré à partir des champs entrés d’index), le numéro de page, le nom du chapitre courant, le numéro du chapitre, des calculs numériques (par exemple : {a + b/2})…
Un champ est figuré sous la forme d’un code de champs entre accolades ou par sa valeur.
Ainsi, le code {TOC \o 1-3} génère une table des matières (TOC, table of contents) référençant les titres de niveau 1 à 3 (c’est-à-dire titres de chapitre, de section et de sous-section). Ce code est remplacé par du texte au moment de l’impression, ou sur requête de l'utilisateur (mise à jour des champs). Il n’est en général pas nécessaire de connaître les codes, celui-ci est généré à partir des options sélectionnées au moment de l’insertion du champ.

17)             Création de tableaux dans les documents

La création de tableaux dans Word a été possible dès les premières versions de Word pour Windows. En parallèle à cela, Word peut au sein de ces tableaux, effectuer des calculs simples entre cellules, en ligne ou en colonne. Il est également possible de mettre en place des formules prédéfinies.

18)             Le sommaire automatique

Word propose un générateur de sommaire automatique dépendant des styles de titres hiérarchisés dans le document. Il peut également créer automatiquement des tables des matières, des listes d’index, pour afficher par exemple un glossaire, etc. Une nouvelle fonction de bibliographie est également proposée depuis la version 2007.

19)             Le résumé automatique

Word fournit un outil de résumé automatique qui permet de mettre en évidence les mots ou expressions jugées importantes. L’utilisateur peut définir les paramètres de pourcentage de texte à conserver par rapport la quantité totale du texte. Ron Fein de l’équipe de Word 97 explique que ce système fonctionne par coupure de mots en fonction de la pertinence des phrases. Dans un premier temps, Word identifie les mots les plus courants dans le document en ignorant les mots comme un, une, le, la, etc., puis attribue un rang pour ceux d’entre eux qui sont les plus utilisés ; il peut alors établir un score. C’est par un processus d’opérations de division et de moyenne du nombre de mots par rapport aux phrases que Word parvient à proportionner un résultat et d’en retourner un résumé. Cette fonctionnalité a été supprimée depuis la version 2010.

20)             Le modèle Normal.dot(m)

Normal.dot, pour les versions de 97 à 2003 et normal.dotm depuis la version 2007, est le modèle par défaut à partir duquel tous les nouveaux documents sont créés. Il est l’un des fichiers les plus importants dans Microsoft Word. Il permet de définir toutes les caractéristiques d’un document et en particulier, les marges et les polices de caractères par défaut. Ce modèle est fourni avec des caractéristiques par défaut que tout utilisateur peut changer à sa convenance et en fonction de ses besoins. Tout changement sur ce modèle impactera tous les nouveaux documents générés et tous ceux dont l’option de mise à jour automatique des styles de formatage est activée. Il faut noter que depuis la version 2007 il existe deux extensions de modèle différentes  : dotx si le modèle ne contient pas de macro et dotm si le modèle contient des macros. Cette distinction permet de reconnaître les fichiers contenant des macros avant même de les ouvrir et ainsi de mieux se préserver des virus. Par contre, le modèle Normal est toujours le modèle Normal.dotm même s'il ne contient pas de macros. Il faut noter d'ailleurs que, contrairement aux versions précédentes, le modèle Normal.dotm n'existe qu'à la première utilisation du logiciel. Rien n'empêche de créer son propre modèle normal.dotm lorsqu'on le souhaite.

V-/ LES CRITIQUES DU LOGICIEL

Avec autant de caractéristiques, Word connaît un grand succès, mais aussi quelques critiques…

4)   La calligraphie

Que ce soit pour Windows ou pour Macintosh, Word n'était pas en mesure de manipuler les ligatures définies sur certaines polices de caractères TrueType à cause des problèmes qui pourraient être rencontrés lors d’éventuelles corrections orthographiques. Ce type de police peut toutefois être inséré manuellement, mais n'était pas reconnu par Word pour ce qu’il représente. Ce problème est corrigé dans la version 2010 qui gère ces fonctionnalités pour certaines « polices OpenType qui ont été conçues pour, comme Gabriola, Corbel, Calibri, Constantia »7. La condition Open Type est donc nécessaire, mais pas suffisante, pour qu'une police soit éligible à ces nouvelles fonctionnalités.
Une autre caractéristique de Word est son incapacité à pouvoir exploiter des espaces réduits lors de la mise en forme du texte en mode justifié notamment, mais aussi les repères de rognage. Diverses solutions de contournement furent alors développées. Le processus de substitution de police de caractère a été mis en place à partir de la version 2002 pour contourner le problème rencontré lorsqu’une certaine police employée dans un document était indisponible sur le système en cours : il n’est pas prévu de pouvoir désactiver ce comportement par défaut.
Dans la version 2004 de Word pour Macintosh, le support de l’écriture complexe était aussi faible que pour la version 97 de Word pour Windows et Word n’a jamais su interpréter la typographie avancée des systèmes Apple gérant parfaitement ces fameuses ligatures et autant de variétés de glyphes.

5)   Les puces et la numérotation

Quelques utilisateurs ont critiqué le système de numérotation des paragraphes par puces ou par numéros, fortement problématique en particulier en cas de méconnaissance du logiciel, la fonctionnalité de numérotation hiérarchique étant relativement complexe.
Les problèmes relevés à l’égard des puces et des numéros dans Word comprennent notamment :
·         l’altération ou le changement inattendu des caractères représentant les puces,
·         l’indentation qui changeait au sein d’une même hiérarchie de paragraphe
·         ou, encore, les séquences de numérotation qui ne correspondaient pas entre elles.
En dehors de cela et dans la majeure partie des cas, le système restait tout de même opérationnel et voyait sa vulnérabilité naître à cause des langues des correcteurs orthographiques installés autres que le français et l’anglais…

Vocabulaire lié au logiciel Word

6)   Justifié : Permet d’aligner le texte à droite et à gauche.

·         Lettrine : Première lettre d’un paragraphe ou d’un texte qui occupe la hauteur de plusieurs lignes.
·         Modèle : La procédure de création de modèles de documents rajoute automatiquement au nom du modèle l’extension DOT, ou bien DOTX et DOTM (avec macro) pour les versions depuis 2007. Cette extension est obligatoire pour le bon fonctionnement du modèle. Tout document est basé sur un modèle.
·         Style : tout paragraphe est basé sur un style, et par défaut le style Normal. Les styles de titre fournis avec Word permettent entre autres de générer automatiquement la table des matières.

VI-/ VERSIONS

2)   PC et compatibles (environnement MS-DOS)
·         1983 : Word 1
·         1985 : Word 2
·         1986 : Word 3
·         1987 : Word 4 (Microsoft Word 4.0 pour PC)
·         1989 : Word 5
·         1991 : Word 5.1
·         1991 : Word 5.5
·         1993 : Word 6.0
·         1993 : Word 6.0 pour Windows
3)   Macintosh (Mac OS et Mac OS X)
·         1985 : Word 1 for the Macintosh
·         1987 : Word 3
·         1989 : Word 4
·         1991 : Word 5
·         1993 : Word 6
·         1998 : Word 98
·         2000 : Word 2001, la dernière version compatible avec Mac OS 9
·         2001 : Word X, la première version pour Mac OS X seulement
·         2004 : Word 2004, faisant partie de la suite Office 2004 pour Mac
·         2008 : Word 2008, faisant partie de la suite Office 2008 pour Mac
·         2010 : Word 2011, faisant partie de la suite Office 2011 pour Mac
·         2016 : Word 2016, faisant partie de la suite Office 2016 pour Mac
3)  Windows
·         Novembre 1989 : Word pour Windows 1.0 pour Windows 2.x, nom de code : Opus
·         Mars 1990— Word 1.1 pour Windows 3.0, nom de code : Bill the Cat
·         Juin 1990 — Word 1.1a pour Windows 3.1
·         1991 : Word 2.0 pour Windows, nom de code : Spaceman Spiff
·         1993 : Word pour Windows 6.0, nom de code T3 (cette version a été renommée 6.0 pour s’accorder avec la version pour DOS et Macintosh, mais aussi pour son concurrent direct WordPerfect et enfin pour la version 32-bit de Windows NT)
·         1995 : Word pour Windows 95 (version 7.0), faisant partie de la suite Office 95
·         1997 : Word 97 (version 8.0), faisant partie de la suite Office 97
·         1998 : Word 98 (version 8.5), faisant partie de la suite Office 97 – Cette version a été produite uniquement pour le Japon et la Corée.
·         1999 : Word 2000 (version 9.0), faisant partie de la suite Office 2000
·         2001 : Word 2002 (version 10.0), faisant partie de la suite Office XP
·         2003 : Word 2003 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2003) - (version 11.0), faisant partie de la suite Office 2003
·         2006 : Word 2007 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2007) - (version 12.0), faisant partie de la suite Office 2007 – La version pour les entreprises le 30 novembre 2006 et c’est le 30 janvier 2007 que l’on pouvait se procurer une version en magasin.
·         2010 : Word 2010 (officiellement nommé Microsoft Office Word 2010) - (version 14.0 car le 13 porte malheur), faisant partie de la suite Office 2010.
·         2013 : Word 2013 (version 15), faisant partie de la suite Office 2013.
·         2016 : Word 2016 (version 16), incluse dans l'abonnement Office 365.